C'était un jour banal. j'étais entré dans la milice de l'île d'astrub depuis ma majoritée. Ma famille avait périe dans un incendit et c'était pour mon père que je m'étais engagé. Je me souviens encore de lui comme si c'était hier: ses cheveux semi-long, son sourire en coin, habillé de la panoplie des miliciens. C'était il y a longtemps maintenant. Aujourd'hui, la milice s'est affaiblie même si leur chef ne veux pas le reconnaitre. Les barbares se font de plus en plus nombreux, leurs perversitée aussi. Dernièrement, un des leurs à laché 5 chef de guerrre dans la ville. Il a fallut s'y mettre à un chacun pour les maitriser... Il ne faisaient que bouger. Ces crimes, je me les remémorais tout en marchant, me dirigeant vers le lieu de rendez-vous qu'on nous avait communiqué la veille. Arrivant là bas, je vis mon ami d'enfance, qui comme moi, s'était engagé. Il avait l'air préssé. Me dirigeant vers lui je voulu lui parler, lui demander ce qui n'allait pas mais il me coupa net: "Pas le temps -Un barbare ? repris-je -Oui. à herbefol. -Qu'attendons nous alors ? -Ils ne veulent pas qu'on y aille. D'aprés ce qu'ils disent, il y a l'équipe 5 déja sur place. -c'est bon alors. -non justement, enchaina-t'il. Je viens de croiser l'équipe 5 à herbacha..." Je fulmina sur place. Quelle bande d'imbéciles ces miliciens ! pourquoi ne pas aller aider ? "Allons-y, décrétai-je -Je ne croi pas que ce soit une bonne idée... -Que va tu faire alors ? les laisser crever? ce sont des innocent !" Il eu l'air d'hésiter. Puis se reprenant, il m'entraina avec lui vers le quartier d'herbefol. Trouver le barbare, ce ne fut pas difficile: Il suffisait de suivre tout le grabuge. C'est donc ainsi que le barbare nous mena à lui. Il était dans une petite maison. Attendait apparamment. Quand il nous vu, il sourit et sortit du placard une jeune fille. Horrifié nous voulûmes nous élancer. Malheureusement, la garde nous avait ratrappée et nous empéchait de nous avancer. C'était horrible. Le barbare avait sortit sa dague et trancha la gorge de la petite sous nos yeux. La garde nous a attaché sur un poteau de bois et avant que le barbare ne tente de s'échapper, a vérouillé toutes les portes de la maison avec 5 soldats à l'intèrieur. On entendi des cris, des injures puis plus rien. Ils l'avaient liquider. Cependant la tête de la fille me restait à la mémoire: j'en fis des cauchemar pendant 2 ans, 2 ans de souffrance... Le lendemain, nous déposâmes, mon ami et moi, notre démission. Nous ne nous vîmes plus pendant ces deux années... puis un jour, alors que je me baladais vers harbacha, je le vis dans la taverne, seul. Pris de cette envie de le revoir, je me précipitais à sa table. Il me sourit du coin des lèvres et nous échangeâmes quelques paroles. Ensuite, nous nous sommes vu plus souvent et un jour germa l'idée d'une milice éfficace. Autre que cette milice de lîle qui était incapable. "Les dragonites" comme il disait. Audébut, nous étions deux puis ça a commencé à s'agrandir et nous étions qualifiés de "milice ilégale" ou "mafia" par le gouvernement (surtout par la milice de la ville). Nous nous sommes distingués des autres grâce au chapeau de paille symbole de la libertée sans frais. Nous rendons actuellement service à la population, sans demander d'argent, ni d'armes, seulement une boisson de temps en temps. Les habitués de tavernes ont l'habitude de nous voir et les marchands nous saluent. La population entière ne peux pas nous aimer, et nous le comprenons. Nous ne cherchons point la célébritée, juste la justice gratuite (et certain une bière par ci par là). Ces dragonites sont indépendant, mais solidaires et seront toujours là pour vous protéger. Signé: Un inconnu (connu de certains)